il m’arrive d’avoir peur d’écrire des mots de trop mais les seuls mots de trop sont les mots que l’on tait se taire pour la plume est une politesse qu’il faudrait oublier
on écrit avec son cœur et avec sa mémoire son cri en mon cœur s’est emmuré ô mon cœur ce cri moiré me peine oyre similaire qu’heure soit noireou cramoisie ocre même oyre me désaltère souvent j’ai cruqu’une crue désaltèrerait que l’écrue cacherait l’erreur…