Algérie lointaine n’est plus à portée de main
N’est plus à portée de pieds
N’est plus à portée d’œil
Ni à portée d’euros
Elle est pourtant encore juste de l’autre côté du jardin il suffit de lever la tête pour la voir
Etendre ses lignes coupées au ciseau
Sous le menton du Maghreb